[ S&t ] Ppsh-41, La tondeuse a gazon sovietique Options

[edgar le cougar]

S&T PPSH-41

Préface :

Ayant récemment décidé d'agrandir ma collection de gear 2e Guerre Mondiale avec de l'équipement soviétique, j'ai du me décider pour une réplique adéquate.
À la base, j'aurais été plus attiré par un Mosin Nagant, mais celui ci étant difficilement trouvable autrement qu'en gaz, ce qui, là où j'habite constitue un handicap majeur (fait froid chez moi !), jJe me suis donc tourné vers mon choix numéro 2.
Le modèle Ares étant trop cher et le HP, "OUT OF STOCK", je me suis tourné vers le sous Ares S&T.

Pour une review en musique, je ne vous imposerais pas une énième chanson des chœurs de l'armée rouge mais plutôt 2 chansons qui, par la grisaille et le vent glacé de ce mois, me permettent de tenir mon taux de monde réel en dessous de 15~20%.

Sabaton-Gott mit uns:


Size Matters / We got ÆØÅ (AEO) - Kollektivet:



1/ Informations générales :

Données constructeur :
Poids : 3650g
longueur : 835mm
Hop-up : ajustable
Mode de tir : Semi auto/automatique
Type de gearbox : ?
Blow Back : oui
Canon de précision : ?
Capacité du chargeur : 2000 billes
Calibre des billes : 6mm
Puissance :370 FPS
Fabricant : S&T



2/ Aparté RS :


Le soldat Vladimir en train de régler sont hop up pour l'OP stalingrad I.

Le PPSh-41 est un pistolet mitrailleur soviétique utilisé pendant la Seconde Guerre mondiale. Il s'agit d'une arme simple et peu onéreuse à produire, qui répond aux impératifs de production de l'époque. Capable d'un tir semi-automatique et automatique, son mécanisme est opéré par le recul et tire culasse ouverte. La sécurité de l'arme est intégrée dans le levier d'armement et permet de verrouiller la culasse en position fermée ou ouverte. Tous les PPSh-41 sont équipés d'une crosse d'épaule en bois.



Conception

Conçu par Gueorgui Chpaguine, le PPSh-41 (Pistolet-Pulemet Shpagina, surnommé le Peh-peh-shah, le Shpagin rotteur) fut l'une des armes produites en plus grande quantité pendant la Seconde Guerre mondiale. Elle fut destinée à devenir une alternative moins onéreuse au PPD-40 qui était long et coûteux à produire. L'une des raisons de son faible coût est l'absence totale de vis et de boulons, toutes les pièces étant usinées.


Initialement, le PPSh-41 reçut le chargeur camembert de 71 coups du PPD-40, lui-même copie du chargeur du Suomi KP31 finlandais.
Mais son encombrement, la difficulté à le recharger et sa fiabilité relative firent que des chargeurs courbes de 35 coups furent mis en œuvre en 1942. Lorsque le chargeur courbe de 35 munitions fut disponible, les soldats avaient néanmoins pour coutume de conserver, lors d'un assaut, un chargeur camembert comme premier chargeur. L'approvisionnement de chaque soldat était probablement d'un camembert pour 5 à 6 chargeurs courbes, contre 3 camemberts auparavant. Son canon est protégé par un carénage de métal qui enveloppe la gueule du canon et qui fait office de cache-flamme.


Le développement du PPSh fut initié en partie par la guerre d'hiver contre la Finlande, pendant laquelle l'efficacité des pistolets mitrailleurs fut prouvée dans les combats rapprochés en forêt ou en zone urbaine. L'arme fut développée à la mi-1941, et fut produite par tout un réseau d'usines dans Moscou, où des hauts membres du Parti local veillaient eux-mêmes à ce que soient atteints les objectifs de production. Quelques centaines d'armes furent construites en novembre 1941, puis 155 000 autres sortirent des usines dans les cinq mois qui suivirent. Au printemps 1942, les usines, dont l'une des plus importantes était l'usine de mitrailleuses de Kovrov, sortaient environ 3 000 unités par jour.


Comportement au combat :

Le PPSh-41 est chambré pour le 7,62 x 25 mm TT, une munition d'un calibre inférieur au 9 mm Parabellum utilisé par le MP40 allemand. Le 7,62 x 25 mm TT est toutefois plus léger et plus rapide et présente une portée pratique nettement supérieure (jusqu'à 200 mètres).
Le tireur pouvait basculer du coup par coup à la rafale libre grâce à un sélecteur. La portée et surtout la précision maximales (environ 200 m) étaient atteintes en tir semi-automatique, le tir en rafale produisant une puissance de feu à courte et moyenne portée beaucoup plus efficace mais largement moins précise.


Le PPSh-41 était également une arme fiable et d'une précision apparemment supérieure à celle de ses opposants. Elle était toutefois lourde et encombrante et était surclassée par le MP40 dans les combats de tranchées ou les opérations nécessitant beaucoup de mobilité.
La Wehrmacht utilisa de très nombreuses PPSh-41 capturées, soit en version originale (sous le nom de MP717®), soit transformées pour le 9 mm Parabellum allemand (sous le nom de MP41®). L'arme non transformée (MP717®) tirait directement la munition 7,63 Mauser allemande au lieu de la 7,62 x 25 mm TT soviétique (d'ailleurs elle-même dérivée du 7,63 Mauser allemand).


La Wehrmacht avait noté l'efficacité terrible offerte par les 900 coups à la minute de cette arme soviétique qui rivalisait, à courte distance, avec n'importe quelle autre arme de l'époque, la puissance de feu étant peu ou prou égale à celle d'une mitrailleuse (chargeur à haute capacité, recul tout à fait négligeable, cadence de tir élevée), la puissance de la cartouche étant compensée par la cadence de tir et son haut pouvoir de perforation. L'avancée rapide de l'armée allemande sur le front russe lui avait donné accès à des dépôts et fabriques de munitions regorgeant de cartouches, permettant d'alimenter l'armée allemande en cartouches soviétiques de manière quasi illimitée.
Alors que les Allemands délaissaient leurs MP40 pour des PPSh-41 de prise, les Soviétiques faisaient le contraire. En effet, l'Armée rouge était très moyennement approvisionnée en munitions, si bien qu'il était plus rentable d'utiliser une arme allemande et de piller ses victimes de ses munitions que d'attendre une nouvelle dotation.


Après guerre :

Cette arme produite à un nombre estimé à 6 millions est un symbole patriotique soviétique de la Seconde Guerre mondiale. Dans les années 1950, dans le cadre du Pacte de Varsovie, les arsenaux nord-coréens (Type 49), chinois (Type 50), iranien (Modèle 1322 dont 10 000 livrés à l'URSS entre 1943 et 1945) et la société hongroise FEG (PM 48 M) en produisirent des copies pour leurs armées respectives. Elle fut rapidement remplacée dans les arsenaux de l'URSS à la fin de la guerre, pour être massivement exportée dans les pays pro-soviétiques, notamment au Viêt Nam (versions soviétique et chinoise) et dans de nombreux pays africains.


Caractéristiques techniques :
Calibre : 7,62 x 25 mm TT
Poids non chargé : 3,63 kg
Poids chargé : 5,45 kg avec le chargeur de 71 coups, 4,3 kg avec le chargeur de 35 coups
Longueur: 84,3 cm
Longueur du canon : 26,9 cm
Cadence de tir : 900 coups par minute
Capacité : Chargeur camembert de 71 coups, chargeurs de 35 coups


Le modèle 1322 iranien :


Histoire et diffusion :
En 1943 (an 1322 du calendrier persan), l'Arsenal iranien de Mosalassi entreprit la fabrication du pistolet mitrailleur PPSh-41 pour le compte de l'Armée rouge, grande consommatrice de cette catégorie d'arme au cours de la Seconde Guerre mondiale sous le nom de Modèle 1322. Ce PM iranien était mieux fini que l'original soviétique. Les premiers Modèle 1322 tiraient le 7,62 x 25 mm TT quand ceux fabriqués après 1945 furent chambrés en 9 mm Parabellum. Au cours des années 1950 et 1960, l'Iran s'équipa de M3A1 Grease gun américains et d'Uzi fabriqués en Belgique par FN Herstal.


Fiche technique M1322 et PPsh-41(version 1943-1945) :
Munition : 7,62 x 25 mm TT
Longueur : 84 cm
Canon : 27 cm
Masse vide : 3,75 kg
Masse chargée : 4,43 kg
Chargeur : 35 (courbe) ou 71 (camembert)
Cadence théorique de tirs : 900 coups par minute


Le Type 50 chinois (République populaire de Chine) :


Histoire et diffusion
Pour compléter les livraisons soviétiques, deux ou trois arsenaux chinois réalisèrent une copie du PPSh-41 deuxième type entre 1950 et 1955. Les différences entre les modèles originaux et chinois concernent le chargeur (35 coups seulement), la crosse (forme et bois employé) et les organes de visée. Pékin a livré des Type 50 à de nombreuses guérillas et gouvernements communistes d'Asie (Cambodge, Corée du Nord, Laos, Viet-Nam du Nord).


Fiche technique Type 1950
Munition : 7,62 x 25 mm TT
Longueur : 84 cm
Canon : 27 cm
Masse vide : 3,60 kg
Masse chargée : 4,28 kg
Chargeur : 35 coups (courbe)
Cadence théorique de tirs : 900 coups par minute


Le Type 49 nord-coréen :
Il s'agit d'une copie fidèle, la finition en moins, du modèle soviétique. Il fut produit par l'arsenal de Pyongyang entre 1949 et 1955 et utilisé massivement durant la guerre de Corée.

Source Wikipedia




3/ La boîte :

Réception faite d'une grosse boîte en carton décorée d'une imposante étiquette sur sa face, m'indiquant exactement ce qu'elle contenait et avec quel chargeur.
À l'ouverture, je fus surpris de la ressemblance de la protection fournie avec celles de la marque Ares (il faut dire que S&T est un fournisseur d'Ares).
La protection est plus que suffisante pour que la réplique arrive chez vous sans encombre.





À l'intérieur se trouvent :
La réplique
un chargeur tambour
un petit manuel anglais / mandarin

Le contenu est vraiment très maigre : même pas une petite baguette de nettoyage ! On en a pour ce qu'on a payé (encore que chez certaines marques haut de gamme, on n'a pas mieux....).



4/ Aspect :


Au premier abord, je fus frappé par la qualité des métaux employés (pour le prix, je m'attendais à bien pire) mais le test de l'aimant me révéla que la quasi totalité de la réplique (à l'expcetion du levier d'armement et du sélecteur de tir) était en acier.
Surprenant !

Sur ce constat, je poursuivis l'analyse de la réplique de l'arrière jusqu'à l'avant.

Pour commencer, le talon de crosse en acier a un défaut. Il est un peu plus grand que le cul de crosse sur le haut qu'il vient couvrir, ce qui entraine un léger jeu.
La trappe qui se situe au milieu est également en acier. Sa plaque ressort manque de cohésion, cela peut l'amener à s'ouvrir de manière inopportune.





L'attache-sangle est en acier. On regrettera cependant l'aspect des vis, qui ne correspondent pas au modèle RS.



La crosse est en vrai bois mais a un aspect très "plastique", mais je reviendrais ultérieurement dessus de manière plus précisément.





La queue de détente et le sélecteur de tir sont une des rares parties à ne pas être en acier.
Le sélecteur de tir vers l'avant pour du full auto et vers l'arrière pour du semi. Il possède un jeu important qui me fait douter sur la durabilité de cette pièce.





Le mag catch qui peut se replier pour éviter de faire bêtement tomber son chargeur suite à une mauvaise manipulation.





Dans le puits de chargement, on peut distinguer une étiquette de garantie, numéro de série unique ?



Continuons sur le top cover. Comme on peut s'y attendre, il est en acier
C'est là que vous pourrez "casser" la réplique en 2, en poussant vers l'avant l'arrière du top cover.
ATTENTION: avant de casser la réplique en 2, il vous faudra impérativement bloquer le levier d'armement en arrière sous peine d'abîmer votre joint hop up.





Il y a un léger jour entre la crosse et le bas du top cover.



Vous pourrez ici choisir de désactiver le blow back en retirant l'encoche de la plaque du levier d'armement de l'ergot, situé sur le haut de la gearbox.
C'est également ici qu'on pourra changer le ressort sans avoir à démonter la gearbox.







Le levier d'armement sur cette réplique permet, une fois bloqué en arrière, de détendre le ressort de la gearbox, ce qui peut s'avérer très utile.
A signaler également que c'est la seule sécurité de la réplique (comme sur le RS, me semble t'il).





Le canon externe est lui aussi en acier. Aucun jeu n'est à signaler à son niveau..





L'attache sangle avant peut être la partie amenée à céder le plus rapidement, suite à un choc.



Les organes de tir sont simplistes.
L'arrière ne dispose que d'un système basculant et l'avant est fixe.







La visée est, disons, "suffisante" pour les distances d'engagement de l'airsoft, mais je n'ose imaginer la difficulté, pour un soldat soviétique d'atteindre une cible a plus de 100m.




Le chargeur est tout en acier lui aussi, et il ne bouge pratiquement pas dans sont logement.
D'une capacité théorique de 2000 billes (je ne suis pas allé recompter). Il feed les billes sans problème.
Pour l'ouvrir, il faut légèrement dévisser la roue qui se trouve sur l'avant et faire tourner la plaque (comme sur le RS).
A l'intérieur, un simple mécanisme de hi-cap vous attend.











5/ Les marquages et la peinture :

La réplique possède très peu de marquages.



La peinture de la réplique me semble de bonne qualité, elle a tenu vaillamment le choc des premières manipulations sans partir en lambeaux.
Mais pour le vernis de la crosse, c'est une autre histoire ! Il est réellement immonde, trop épais et marque très facilement au moindre coup.





5/ Prise en main :

Chers amis amoureux de la poignée pistolet et de la prise en main assistée par poignée tactique, passez votre chemin ! Ici la prise en main est "russe"tique.
Il devait être difficile pour un soldat de l'époque d'obtenir un tir précis, vue la position qu'impose le chargeur tambour.
De plus la réplique est quand même assez lourde, surtout chargeur et billes mis en place.







6/ Mise en fonctionnement :

On charge les billes dans le chargeur tambour.
On commence à dévisser le talon de crosse.... on continue à dévisser.....encore et encore......Bon ! Pourquoi ça ne dévisse pas ?
Après un rapide coup d'œil au manuel, je comprends le problème.
En fait, le talon de crosse est vissé en 2 parties : une vissée à la crosse et une autre qui doit être débloquée grâce à un ergot situé derrière la trappe.





Une fausse bonne d'idée selon moi, car pour basculer la première plaque, il faut la tirer de manière à quasiment la tordre. Or, je doute qu'elle supporte ce genre de traitement très longtemps.
De plus, il y a un risque de coincer les câbles entre les 2 plaques et de les sectionner.



7/ Tests de tir :


Attaquons une des parties les plus importantes de cette review.


Pour commencer :
Séance de 15 tirs.
Distance : 30m
Bille de 0.25g King Arms
Batteries : Li po 7.4 gun powder (et 11.1 biocels uniquement pour les tests de cadence).
Chrony : Big Dragon E9800
Cible : feuille A4
Test réalisé debout et sans appui.
Température extérieure de 14~15°
Nettoyage complet de l'AEG avant le test de tir.
Pas de vent.

Le blowback est agréable sans être extraordinaire. Ce n'est pas lui qui vous fera vibrer l'épaule à chaque tir, mais le fait de voir la culasse remuer est assez sympa.


Déjà les passages chrony:

Dans les 375fps de moyenne en 0.25g sa commence à piquer fort je trouve.










Passons aux tests de tir

Test 1: semi auto



Tous les tirs ont impacté dans le carton (mais ils n'ont pas tous marqué semble-t-il)


Test 2: rafale courte (2/3 billes)




Test 3: rafale libre



Ben franchement, ce n'est pas mauvais pour une réplique avec un canon de cette taille. Bon, je suppose que la puissance doit jouer aussi.
Il faudra refaire les tests Hop-up rodé et puissance réduite, mais je suis pour l'instant très satisfait !


Niveau cadence, nous sommes avec une batterie de 7.4V à 618 billes à la minute




Avec la 11.1V, on passe à 1090 billes à la minute (ce qui ce rapproche plus des 900c/m historiques).
Autant dire que la mécanique ne supportera pas longtemps une cadence aussi élevée (mais assurément fun à l'utilisation).



Ce message a été modifié par edgar le cougar - 19/11/2012, 00:21.

[edgar le cougar]

8/ Démontage :


J'étofferais cette section plus tard.



Conclusion :

Je suis agréablement surpris par cette acquisition, je m'attendais juste à une copie cheap d'Ares, mais en fait je trouve ici une bonne réplique à laquelle il suffira de changer le ressort pour la rendre jouable "out of the box".


Les + :
- le prix (USD 195.00)
- quasi full acier
- bonne qualité générale
- bon rapport portée/précision.
- sécurité qui détend le ressort.
- blow back.
- Changement rapide du ressort.

Les - :
- trop puissante
- juste des hi-cap
- fausse bonne idée pour le talon de crosse
- visserie non conforme au modéle RS
- bois moche
- léger jour entre l'arrière du top cover et de la crosse.



Sincère remerciements a MSZ-006C1 et Raven60 pour la correction orthographique.



Liens :

Site internet du constructeur:


Merci d'avoir pris le temps de lire cette review jusqu'au bout.
Passez une bonne journée.


Supplément:

Mon premier essai pour vieillir la crosse et le corps.





Ce message a été modifié par edgar le cougar - 23/11/2012, 07:26.

[Psychos]

ouais, en gros c'est le Ares vendu à son "juste" prix

[cyril-]

sympa la review, j en sai plus sur une arme et sa replique que je ne connaissas pas !


et beau travail sur le bois elle rend mieux comme cela

[MP40du25]

Très sympa la review

Le vieillissement était bien nécessaire et rend très bien

Quelqu'un sait si des chargeurs courbées existent ou sont prévus ? (les 35 coups RS)

[Oioi]

Très bonne review, moi qui avais longtemps hésité à me la prendre... *regrets*...
Belles photos !

[Rael]

Me semble qu'il y a un changement de ressort rapide non ? Ce qui atténuerait déjà beaucoup le point négatif de la puissance ...

Quasi full-acier. Je commence à regretter de pas avoir de sous moi.

[edgar le cougar]

Merci de vos commentaires.

Quelqu'un sait si des chargeurs courbées existent ou sont prévus ? (les 35 coups RS)

Oui ils existent chez S&T et ares mais uniquement en hig-cap 540 coups....

Me semble qu'il y a un changement de ressort rapide non ? Ce qui atténuerait déjà beaucoup le point négatif de la puissance ...

Oui je le dit dans la review, mais sa reste un point négatif qui fait la différence entre jouable out of box ou non.

Ce message a été modifié par edgar le cougar - 19/11/2012, 10:34.

[Oioi]

Peut être possible d'adapter un mag de mp5 à l'intérieur du high cap courbe. A creuser ! (Moi c'est ce que je tenterai)

[MP40du25]

Merci de vos commentaires.



Oui ils existent chez S&T et ares mais uniquement en hig-cap 540 coups....

Merci beaucoup pour l'info
Je trouve que ça a son charme aussi avec ces chargeurs du coup je m'en prendrais peut-être une par la suite.

[BrotherX38]

Salut alors super review, d'ailleurs je m'en suis pris une aussi de chez S&T, comme toi

Je voulais te demander ou a tu pris la sangle, car sans sangle toute une journée ça devient très lourd ^^ puis pour prendre le tokarev c'est compliqué aussi.

Merci

Airsoftement.

[Harry_K.]

T'en trouve plein sur Ebay des sangles.

[BrotherX38]

T'en trouve plein sur Ebay des sangles.

D'acc, merci

[Grynn]

Super review !