Glock 17 KWC Options

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Et c'est parti pour un Test, un !


LE Glock 17 de KWC fut mon premier Gaz Blow Back. Bien entendu à l’époque ces modèles n’étaient pas aussi complexes et réalistes que ceux d’aujourd’hui.

Séquence émotion…

1) L'histoire du vrai :

1963 - Glock GesmbH est fondée par Gaston Glock en Autriche
1963 - le premier produit de Glock : tringles à rideaux en plastique
Les années 1970 – La société fabrique des boîtes de cuisine En plastique, des ceintures de munitions de mitrailleuse, des pelles et des couteaux utilitaires.
1980 - le fondateur de la société commence à développer une arme à feu
1982 - l'armée autrichienne choisit finalement le Glock 17
1984 - avec le service dans l'armée norvégienne, le Glock quitte l'Autriche
1986 - G18 présenté
1986 - Glock Inc dans Smyrne, GA, établi
1988 - G17L et G19 présenté
1988 - tout les Glocks obtiennent frontstraps dentelé et backstraps
1990 - G22 et G23 présenté : les .40 armes à feu S*W toutes premières

Le Glock est l’un des premiers modèles doté du système DAO (double action obligé) qui oblige son utilisateur a faire la course de la détente complète a chaque tir, par opposition au simples actions tel les Desert Eagle et Autre 1911.


2) La Réplique :

Esthétique générale :

Lorsque je l’ai présenté a quelques amis, le premier commentaire (de mauvaise foi je vous l’accorde) que j’ai entendu fut « il fait vraiment plastique ». Chacun sait que le glock comporte des parties en polymère, ça n’est donc pas surprenant pour ce modèle. Je trouve le plastique de la culasse de très bonne facture, celui-ci est brillant et non mat, et donne un aspect métal bien rendu. La culasse est fermée, le réalisme du mécanisme donc moins poussé que sur les modèles récents la aussi, la fenêtre d’éjection restant donc fermée lorsque le Blow back s’active.
On a le marquage du vrai d’un coté (gauche) et le marquage du fabriquant Kien Well Corporation de l’autre.
A noter que sur le modèle BBG la détente est couleur argent pour différencier a l’époque ce modèle du simple Springs.

Prise en main :
La crosse est assez ergonomique, le doigt vient naturellement se placer sur la détente, et cela même si vous avez adapté comme moi un laser sur le pontet, ce qui aura juste pour effet de rendre l’accès a la détente un tout petit peu moins facile. Le poids n’est pas excessif tout en restant appréciable, mais cela est du au chargeur…

Ejection et chargeur :

Le bouton poussoir tombe naturellement sous le pouce, mais sa résistance évite une éjection accidentelle du chargeur. La pièce est en métal donc pas de soucis de la voir rendre l’âme.
Le chargeur comme le reste de la réplique ne pousse pas le réalisme dans ses derniers retranchements, il est même en dessous du reste : tout au plus un chargeur basique a chargement linéaire (et il faut soit même comprimer le ressort pour introduire les billes) avec un ressort central et un talon marqué KWC en dessous.


Le canon, la culasse :

Le Glock 17 est doté d’un canon de 5’’, le hop up est présent mais non réglable.
La culasse se tire en arrière sans soucis, et le ressort, vif, la fait revenir à sa place initiale sans anicroches.
L’arrêtoir de culasse n’est pas opérationnel sur ce modèle. C’est la pièce métallique qui se trouve en bout de ressort de chargeur qui va bloquer la culasse en arrière lorsqu’il n’y a plus de billes à tirer. Ce système simplifie certes la mécanique du modèle mais n’est pas une bonne chose car pour éjecter le chargeur cela s’avère laborieux, même si le glock, par son esthétique au bas de la crosse facilite la chose, par rapport au Sig.



La visée :
Les organes de visée ne sont pas réglables ce qui n’a rien d’étonnant vu son prix. Les modèles récent son doté de rails latéraux pour l’ajout d’un laser ou d’une surefire. Mon modèle ne présente pas tous ces artifices.


Le démontage :

La aussi ont ne retrouve pas tout le réalisme rencontré sur les modèles actuels. La culasse et le mécanisme se démontent d’une seule pièce par l’extraction d’une « goupille » à l’arrière de la crosse.


Sécurité :
Comme pour le modèle réel le Glock 17 KWC dispose de deux Sûretés, l’une passive, l’autre active. La sûreté passive, c’est l’activation du cran de sûreté sur le coté du modèle. La Sûreté active c’est la détente dotée d’un ingénieux système qui empêche les coups de partir accidentellement si un doigt n’était pas posé sur la détente
Lorsque la sécurité passive est activée, on peut toujours néanmoins armer la culasse.

En action:

L’ergonomie du modèle donne ici tout son intérêt en partie. Le tir est rapide mais pas précis du tout, il faut compter le soutien d’un laser si vous voulez tirer avec précision, et encore vous aurez quelques heures devant vous a prendre pour le régler convenablement.



Conclusion :

Ce modèle n’est plus, à ma connaissance, en vente. Son cousin éloigné, le Sig p226 lui si (sur arco & frecce pour moins de 80 €). Je vous conseillerais donc de lire mon test sur le P226 assez edifiant et qui vous demontrera que le choix de neplus commercialiser ce modele, pour laisser en vente le P226 est une grave erreur a mon sens.
Merci …